Sans doute à la sincérité de son engagement, à son intégrité intellectuelle et morale, à sa capacité à résister aux sirènes de la corruption ?
Certainement aussi à sa « virginité » politique : il n’eut jamais à affronter la réalité concrète du pouvoir. Aussi à sa mort dramatique : assassiné alors qu’une Internationale de la Paix, à son initiative, se dessinait.
Cependant, son parcours en témoigne, chaque fois qu’il l’a pu, il a pesé sur le cours de l’histoire sociale : sait-on aujourd’hui que les premières retraites ouvrières ont été votées sur sa proposition ?
Et ce n’est qu’un des nombreux exemples que nous donne Henri Guillemin pour mieux apprécier le fondateur du socialisme français…
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